ANDREW GM UN SURVOL COUTURE

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Sur une musique de Gabriel Fauré, « Pavane en Fa dièse », les créations d’Andrew Gn échangent ses influences culturelles contrastées par un style et un savoir-faire sans compromission. Né à Singapour et éduqué en Grande-Bretagne, sa chaleur et sa personnalité sont tellement évidentes grâce à son éducation cosmopolite qui rayonne comme sa couture. Il parle l’anglais, le français, l’italien et quatre langues chinoises.

J’entends, minute après minute, cette mélodie du cœur se répandre au delà du filtre lancinant grisâtre que l’on m’impose, et qui remplit chaque recoin de mon cœur et de mon esprit depuis le début de cette Fashion Week. Mais, enfin, je vois le langage de l’amour qui se dessine sur l’écran qu’Andrew GM me propose dans un accomplissement qui va chercher au plus profond de lui.

Tout lui est permis, même d’espérer de prendre la place de Virginie Viard chez Chanel, un poème couture qui tombe à pic. J’aime à changer de cieux, de climat et de lumière, plonger dans les saisons, qui fuient l’hiver pour un  rivage plus clément. Si nous cherchions un nouveau maître de Granville, celui-ci existe, il est là devant nous, il naquit sur l’île du Merlion.

Anonymode.

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