Madame Rêve

DU RÊVE AU CAUCHEMAR

Publié le Mis à jour le

Une vue absente sur la cuisine mais pas sur les serveuses qui ressemblent à des implants « silly conne née » façon Barbie, un subterfuge certainement pour ne pas voir notre assiette. Une assiette marronnasse comme un cauchemar et collante comme une roumaine quêtant pour une association de sourds et de muets.

Pour la suite, Ragnarök était présent ou Crépuscule des dieux de la Mythologie germano-scandinave, pour un suprême en plat principal, servi tellement farineux que j’ai reconnu le boulanger qui l’avait fabriqué ; mal cuit j’aurai pu le voir s’envoler à la première pression de ma fourchette. Un Bar pour la bimbo qui m’accompagnait tellement spongieux que même elle a compris qu’il était congelé, et une sorte de jus acide qui vous prend à la gorge comme un produit Monsanto pour finir vos jours à Saint-Hélène dans des vapeurs de cyanure avec le « Nabo Léon ». J’aurais d’ailleurs préféré perdre mes sens gustatifs afin d’arrêter cette torture de ce gastro à nutrition de bobos parisiens.

Une jolie sélection de vins, néanmoins, qui ne sort pas des frontières, mais chacun sait qu’avec la bitumeuse qui m’accompagnait « l’alcôve tue lentement », alors cela sera seulement un chablis de première facture qui, lui, était à bonne température. La sommelière, par contre, nous dit : « je vous le « ramène », alors que pour un objet on utilise le mot « apporter », mais bon !!! Nous sommes dans un restaurant, pas dans une officine de Muriel Gilbert, mamie de la langue française et du bonbon sur la langue. Lire la suite »

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